À la télévision on peut souvent entendre parler de familles déchirées, blessées par une personne quelconque qui entre dans leur vie et la détruit en millier de morceau afin qu’il soi impossible à recoller. Forte heureusement, ma famille n’était aucunement comme ces familles malheureuses. Née d’une mère canadienne et d’un père Américain, je ne pouvais qu’être complètement bilingue se qui m’apporta beaucoup de chose dans ma vie. Dès mon enfance, une liaison étroite s’était installée entre ma mère et moi. Nous étions comme deux meilleures amies. Malheureusement, chaque histoire détient son moment tragique. Le mien s’est passé lors de mes 5 ans. J’attrapai une infection sérieuse, la méningite. Heureusement, de nos jours, cette maladie est parfaitement traitable lorsqu’elle est détectée à temps. Après plusieurs semaines d’hospitalisation, j’en sortie vivante, mais avec quelque chose en moins, mon ouïe. Je n’étais pas devenu complètement sourde, mais je devais avoir un appareil auditif pour le restant de mes jours. Mes parents ne se laissèrent pas avoir et encore moins moi. J’ai donc décidé d’apprendre le langage des signes et appris à aimer cela bien vite. Bien entendu, certain enfant ne comprenait pas très bien à mon âge, se que j’avais mais peu m’importais. Je n’allais pas me laisser abattre. J’appris très vite ce langage et mes parents aussi afin que l’on puisse parler sans que j’aie mon appareil. Bref, des années passèrent et j’étais toujours la même fille pétillante. Même si la musique était pour moi que d’énorme bourdonnement plus ou moins clairs, la vie me souriait. J’appris à faire de la photo et je devenus même excellente. C’est donc se qui me donna envie de voyager partout dans le monde. J’embrassai mes parents et partie visiter chaque continents. Après un an, je me retrouvai sur cette île. Je décidai d’y rester un moment et d’apprécier le beau paysage qui s’offrait à moi. Je trouvai même un emploie de traductrice pour le langage des signes. Étrange non ? Quoi qu’il en soit, pour l’instant je m’y plaisais bien, mais ayant le cœur vollage, je ne sais pas pour combien de temps j’y resterai. Seul l’avenir nous le dira.